Mes poumons hurlent en se remplissant d'eau,
le sel colle à mes lèvres comme un baiser d'amant
ma mémoire se mêle aux algues cheveux verts
ai-je sauté, fus-je poussée je ne saurai jamais
je flotte
mais c'est trop tard
Libellés : Poemes d'ombre
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Anonyme a dit…
Pas al celui-ci. Euridice plutot noires pensee en ce moment...
J'aime bien l'efficacite des phrase.
Une Euridice de retour donc.
J'ai vu que tu parles de dessinne, penses-tu ajouter des images aux poemes, ou une gallerie?
23 août 2008 à 12:36
Unknown a dit…
quel beau compliment...tu sai j'éris comme le mots me vienent, presqu'automatiquement et ensuite je comrends ce que j'avais à dire. Oui Euridice est noire et l'autre tente de contre balancer.. Sais-tu desiner "sans intention", les yeux fermés? J'essayerai pour "illustrer", bisous euridice
23 août 2008 à 17:48