Une chanson d'amour

Une chanson d’amour qui courre tous les jours
Sur mes lèvres, à ton hymne, à toi, le seul amour
Qui n’ait jamais existé pour moi, à part toi

Une chanson d’amour, qu’on murmure ou qu’on chante
A pleine voix, le cœur fier, embrasé, d’avoir écrit pour toi
Ses paroles et son air, qui n’existe que pour toi

Dans la rue, dans la chambre, face à toi ou très loin,
Je fredonne celle-là, elle ne te lasse pas
Et elle est si vivante que ma voix en tremble parfois

Sur cette chanson d’amour qui te ramène près de moi

Euridice Dante

Si nue

La courbe de tes hanches, la courbe de tes seins,
Que je vole en secret, dont tu restes innocente,
Font vaciller mon cœur, m’étourdissent, m’ensorcellent.
Est-ce ta peau blanche comme la lune que tu maudis parfois ?
La fente de tes yeux où brillent deux perles d’eau, un océan offert,
Que tu plisses comme les chats, m’invitant à m’y perdre …
Tu es la seule, toi ma femme, seule à avoir les lèvres si douces
Que j’y volerais sans fin des baisers sans pareils.
Tu es ma Belle, ma Déesse, chuchotant que l’amour
T’es tellement naturel que tu ne le sais même pas.
Mais saurais-je célébrer ta beauté sans pareille
Quand je te vois si nue….

Euridice Dante

Leurs compagnons

Ils se tiennent droits et les bras grands ouverts
Pour nous serrer quand perlent nos larmes amères
Ils comprennent tout, voient et devancent nos peines
Ils devinent tout et devancent les jours
Qui se dessinent bien avant qu'on comprenne...
Je les salue, oh! Nos compagnons d'armes!
Toujours debout et toujours sur leur garde
Que ferions-nous sans leurs épaules larges
Et leur discours pour apaiser nos peurs.
Braves guerriers merci d'être là et très forts
Pour que nous vacillons moins que les fragiles flammes
Des bougies allumées quand disparaît le jour
Et seront là encore quand l'innommable portera
L'estocade finale et se fendra le cristal
De l'horloge de nos vies.

Euridice Dante

Toi, Sourire-Soleil

Toi, Fée de mon enfance, je te découvre toujours,
Un peu plus forte encore, et pourtant si fragile.
Bijou simple et si beau, feuille d’or en dentelle,
Tu poses sur la vie un regard si réel !
Acharnée tu te bats pour n’y voir que les couleurs du ciel,
Et chaque jour arracher que des sourires-soleil,
Pour les offrir aux autres, à ceux que ton cœur aime.
Tu es fille du printemps , ma Rose, la plus belle,
Où le temps ne laisse aucune trace malgré ses coups de lames,
Les tempêtes de ta vie ont beau secouer ton âme,
Tu gardes dans ton cœur cette force éternelle
Si rare, insoupçonnable chez ce petit bout de femme.
Je t’admire, te chérie et rêve souvent de toi
A qui je voudrais rendre un peu de ce que tu donnes.

Que le bonheur te garde !

Euridicie Dante

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