Si nue

La courbe de tes hanches, la courbe de tes seins,
Que je vole en secret, dont tu restes innocente,
Font vaciller mon cœur, m’étourdissent, m’ensorcellent.
Est-ce ta peau blanche comme la lune que tu maudis parfois ?
La fente de tes yeux où brillent deux perles d’eau, un océan offert,
Que tu plisses comme les chats, m’invitant à m’y perdre …
Tu es la seule, toi ma femme, seule à avoir les lèvres si douces
Que j’y volerais sans fin des baisers sans pareils.
Tu es ma Belle, ma Déesse, chuchotant que l’amour
T’es tellement naturel que tu ne le sais même pas.
Mais saurais-je célébrer ta beauté sans pareille
Quand je te vois si nue….

Euridice Dante

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