chaque personne possède deux facettes, je vis d'ombre et de lumière, alors si beaucoup ed poèmes d'ombre apparaissent e même temps, pas d'inquiètude la poudre d'étoiles n'est pas loin...

Même les elfes....



les étoiles sont glacées
la forêt est en berne
les lacs sont froissés
même les elfes sont tristes

en attendant la neige

Le miel de ma vie

elle est là, près de moi
les lèvres sucrées de baisers
elle a un parfum qui m'enivre
je veux qu'elle reste toujours là

Elle est vive et boit de la bière
elle est douce, je la vois qui s'endort
elle a toujours un petit mot
qui me chavire et me console

de toutes les heures qui nous séparent
quand le matin elle part en flèche
là j'arrête de respirer, de vivre
jusqu'à son retour dans la nuit

je voudrais que la valse de nos sens,
nos yeux, nos âmes, nos corps
dure cents ans, non plus encore
petit chat que je cajole, qui me dévore

elle, elle, elle,
le miel de ma vie

comme un oiseau

comme un oiseau en chute libre
il a oublie les armes et les mots
le soleil brille au printemps

comme un oiseau en chute libre
qui confond flocons et petales
le soleil brille au printemps

s'est-il cogné? s'est-il perdu?
ce pauvre oiseau en chute libre
a oublié qu'il avait pourtant...

des ailes

Les yeux rivés sur tout ce qui bouge,
à peine elle se tient assise seule, bientôt les jeux de toutes couleurs
et ceux bruyants indispensables
Elle reconnaît les voix,
voit-elle déjà un peu nos visages?

Oublier tout

oublier tout
et comme à son reveil
tenir une pépite de soleil dans la main
un grain de bonheur et de paix

Elle était blonde miel
en noir ou bien en gris
s'est retournée très vite
dans les yeux m'a sourit

un fil d'or soudain
à relié nos deux âmes

Mais où est la lumière?
Mais où est la sortie?
la paix me rejoindera-t-elle
avant de mourir ici?

J'ai soif d'air, de soleil,
j'ai soif de trêve aussi,
à genoux dans le noir
je ferme mes mains meurtries

Il faut se battre encore
S'écorcher sur ses rêves
Il faut y croire aussi
au bord de la falaise....

Pas de sentence légère chez le médecin des âmes...

hiver

Les matins noirs d'hiver
se réveillent mal aussi
il manque de la lumière
et je me désespère

les fragiles étoiles sont-elles mortes
face à ma sourde colère?
Ou sévères ont-elles fuit?
la lune même est poussière

Toutes les larmes sont mortes
je me sais condamnée
à quoi pense-t-on dans les prisons?
tous les miracles sont impossibles

sans importance

La peur creuse ses entrailles
il est terrorisé
le seul monstre c'est lui
et il n'a pas confiance

il faut tenir
interdire la souffrance
en se soulant de mots
de musiques défaites

L'heure s'avance, cruelle,
il est terrorisé,
bientôt ou trop tard la sentence
et c'est sans importance

dans ma tête

Souffre....en silence!

Je me permets ici de verser, trop peut-être, ce que coûte à la vie secrète le chemin du "passage vers le soleil", bientôt sera silence des poèmes d'ombre , je dervais peut-être me taire et cacher ça sur du papier...loin de vos yeux fragiles

Ne regarde pas

Ne regarde pas mon âme
elle est laide et obscure

Tous ces gens

Tous ces gens si cruels qui hurlent de bonheur
en regardant mes ailes brûler sur le brasier
accusée de quel crime ? Je ne le sais pas moi-même
la douleur est intense mais le corps est mortel

Ma ville organise un concours de poèsie ouvert à tous, ça commence en décembre et le sujet est lèger alors si ça vous tente on peux s'organiser (en france) pour que je vous envoie le bulletin d'adhésion. Le thème ? "Le sourire"...Tous à vos plumes! Pour une fois qu'il y a un concours ouvert à tous...Chacun a sa chance, il y a des gens de Nice qui participent ils m'ont dit!

Laissez moi

Laissez moi à mes larmes

à vie

Depuis 20 ans je suis ta prisonnière
depuis 20 ans je suis pour toi un torchon qu'on déchire,
une esclave sans âme qu'on frappe sur le sol
sous ton pied écrasant qui me salit encore

Depuis 20 ans je suis ta prisonnière
il n'y a pas d'issue, interdite est la guerre:
tu m'as pris tous mes droits, je n'ai même pas d'abri,
et je ne peux rien y faire; ta force m'avilit

Depuis 20 ans je reste prisonnière,
moins qu'une ombre, moins qu'un chien,
et je sais à présent qu' irrémediablement
je suis ta prisonnière

à vie.

Tornade

Enchevetrée dans des draps d'impuissance
je ne peux pas éviter la tornade qui frappe,
c'est une mousson, un thyphon, un ouragan
qui me prend à pleines mains, me frappe

un siècle après quand elle s'est bien amusée,
quand tout est dévasté, et plus rien n'est debout
elle laisse choir sur sol mon corps desarticulé,
quand elle s'est amusée elle est rassasiée

 de cris...

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