Oiseaux! Je vous confie mon âme
il faudra chanter fort et la porter au ciel
je pars pour une course folle mais qui en vaut la peine
je vais vers notre étoile, voilà, le jour s'amène
car je veux, il est temps, courir à perdre haleine
courir à devenir folle, courir: mon but est trop réel,
courir , vous comprenez, courir, courir, courir
pour atteindre le soleil
Libellés : Poemes d'or
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Manny a dit…
J'aime.
Un peu de symetrie, peut etre? Tu me diras.
Nos arpèges
On affûte,
On affûte nos arpèges,
C’est l’heure effroyable où l’on a encore quinze ans
Et qu’il faut encore se plaire
(Pourvu que l’on sache encore faire:
Les gestes, puisqu’on les a usés, en trouver de nouveaux),
Se dresser encore sur la pointe des pieds
Pour atteindre un baiser,
Inventer des constellations toutes neuves
Avec leurs branches brillantes, chromées,
S’enhardir à mesure qu’on les devine
Qu’on les dessine du murmure des phalanges
Sur la carte délavée d’un dos, d’une épaule,
Sur la pointe des pieds, pianoter,
Atteindre le noir du ciel
Fermer les yeux et dans le flou, ton sourire avec la même clarté.
16 octobre 2009 à 13:41
euridice a dit…
Manny le Magnifique dis dont je vais t'offrir une place de choix: envoie moi ce que tu veux que je publie (à ton nom of course) et je le publie sur le chef, tu as une main qui mêne à toute la beauté d'un visage..illuminé
16 octobre 2009 à 14:48
Manny a dit…
tu veux vraiment que je rougisse toi!
a bientôt j'espère
16 octobre 2009 à 20:58