Ouverte aux quatre vents du monde j'aime boire ton âme
Je ne comprends pas tes murailles,
j'écoute tes soupirs, tremble quand tes mots s'absentent,
te hais de m'oublier et ris quand tu reviens,
je m'éteins lorsque que tu baisses les paupières,
la solitude m'étouffe comme si j'étais indéfinie
sans tes rêves, sans tes cris et sans tes confidences
Je ne souhaite plus qu'une chose: entendre dans ta poitrine
le chant doux et sacré des battements de ton coeur,
c'est comme une prière qui monte de mes veines
parce que ta simple vie suffit à mon bonheur
Mais c'est folie, bien sûr! Alors comprend...
Je ne poserais plus mon regard sur tes mains,
je veux éteindre le feu de mon sang ébloui,
ne plus me consumer au mystère de tes yeux.
Insondable, pardonne, fuis moi je te supplie
il est temps de fermer la page parce que
la nuit chuchote des rêves que ma raison maudit
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