j'ai effacé ses mots où parlait la douleur
j'ai tu le silence et les cris
de toutes ces nuits amères
pâles comme des banquises
qui pleurent comme on prie
condamné
Article plus récent Article plus ancien Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire