terreur, terreur, terreur
de voir enfin un jour la lumière du soleil
indestructible fil vers la fin du couloir
j'ai peur de la vie comme un enfant qui crie
à sa naissance
Libellés : Poemes d'or
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Mag a dit…
C'est une jolie touche ca, que "Terreur" soit un poeme d'or. Subtile. J'aime.
24 septembre 2009 à 20:43