Au diable les lutins, les elfes et les sorcières
la nuit fragile et nue en est-elle plus amère?
seules les étoiles tuent ceux qui s'en désespèrent
les villes se sont tues, il reste leur misère
où donc est le mystère?
C'est étrange de voir la vie devenue sans rêves
la magie s'est rompue, en est-elle plus légère?
Je me sens loin de tout, et ma gorge se serre
la mort est elle reine où mon âme se perd
ou vivre n'est devenue qu'une simple colère?
Libellés : Poemes d'ombre
quel prix a la vie?
Celle des paillettes d'or, dans ma poussière
Libellés : Maximes
Quelles paillettes dans ce cours
d'eau je verrai à la fin du parcours?
A force de chercher je ne voulais plus y croire
et là, inexorablement, se déchirer la chair,
et sentir déjà l'odeur
du miel de chaque jour ...
Libellés : Poemes d'or
terreur, terreur, terreur
de voir enfin un jour la lumière du soleil
indestructible fil vers la fin du couloir
j'ai peur de la vie comme un enfant qui crie
à sa naissance
Libellés : Poemes d'or
les cris du silence
dansent et recommencent
la danse des souffrances
danse sans importance...
Libellés : Poemes d'ombre
Reviens!
Comme un phénix ou quoi
j'ai besoin de toi!
reviens, reviens à moi!
ton absence est cruelle
Libellés : Poemes d'ombre
Comme un mineur qui n'attends plus
trop las, il a déposé son tamis près de lui
et regarde le ruisseau qui ruisselle
sur la boue de espoirs noyés et peut-être perdus
je te promets, je m'y engage, je vais reprendre courage
et poursuivre ma quête dans tout ce sable
guettant même il faut des jours, des mois,
et je ne peux que trouver, quand? Nul ne sait
des pépites de soleil
je te les donnerais ici
Libellés : message aux lecteurs
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