La douleur est profonde et le chemin est long
parfois je me demande si il y a une issue
pourtant je lutte de toutes mes forces
à en oublier le chemin parcouru
vous êtes les témoins, moi je subis
j'ai peur et c'est terrible; mais qui sait
ce que c'est que de vivre dans la terreur de soi?
Retrouve-t-on un bout d'enfance un beau, un pur, un vrai
je ne réclame pas la fleur, je prie et je pleure à genoux,
mais je vous promets je me relève toujours: pour avancer
trouverais-je au moins quelque jour, quelque part
sur ce chemin où seules ruisselle l'eau froide et noire, sans soleil
ma part de rêve
Libellés : Poemes d'ombre
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