Voir naître le feu qui ne s'éteint jamais
dans le coeur de deux parents trop émus
pour pleurer ou pour rire de ce petit bébé
Eliott d'amour loin ou vite près de toi
ils ne savent même pas
comment te tenir dans leurs bras
bienvenue Eliott minuscule
Libellés : Portraits
Article plus récent Article plus ancien Accueil
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Françoise Monchiet a dit…
très joli petit poème
je le lirais à ELIOTT quand il sera
à la maison!!
bisous
9 juin 2009 à 21:14
Unknown a dit…
merci de toute façon c'est sa faute: il est trop mignon, vivement qu'on puisse le caresser, hein? merci de l'avoir lu et en plus apprèciè ça me touche beaucoup!bisous
10 juin 2009 à 07:57