Une photo, une bougie, un rire dans la nuit,
que la douleur soit remplacée
Car je veux croire aux anges

à toi

à toi que je ne cesserais jamais d'aimer
à toi que je voudrais tellement serrer
je ne sais plus à qui mes cris d'amour confier
aux oiseaux? au vent? aux fleurs sous la neige cachées?
le temps passe mais n'efface pas le vide que tu nous as laissé
à toi je pense, à toi je rêve, à toi je garde mon coeur blessé
je regarde le ciel que je veux pardonner
je me dis que sûrement tu voudrais me gronder
tu as raison tu sais ce n'est pas dans les larmes
que je dois associer ton souvenir, oh grande âme!
mais aux rires et glisser sur mes lèvres ce que tu veux y voir
un sourire qui danse avec la neige, les rires et le soleil franc
pour tout le bonheur pur que tu m'as apporté

Si voulez déposer un poème ou plus, de votre plume n'hesitez pas! (clin d'oeil à Super Tata)...ici les critiques ne sont vraiment pas violents!(??)

Elle écoute toujours l'eau
Elle danse avec le vent
Elle rit avec le feu
Elle joue avec la terre

Qui cru que cet enfant
Si petite, déjà belle
Nourrirait tout son sang
Des rayons de soleil?

C'est elle forcèment
Qui, dans la sombre nuit
Allume comme des bougies
Les étoiles du ciel

Au premier jour déjà, Ils dormaient sous ton lit
Et ils t'ont murmuré tant de rêves, de mystères
Que dans les feux tziganes ton coeur fut impatient
D'affronter ces vrais Dieux alors tu es parti

Tu parcours la Terre comme on sillonne la nuit
Les yeux trop grands ouverts pour guetter leur réveil
Leur coeur qui bat trop fort, leur silence interdit
De sentir sur leurs flancs un homme qui a compris

C'est leur lave qui coule écarlate dans tes veines,
Leur rage est dans ton souffle parce que tu les surveilles
C'est leur soufre que tu bois, leurs acides et leurs terres;
Téméraire au grand coeur ta famille te suit,

Faut-il rire ou trembler du jour consacré
où, face à leur colère tu seras tout d'argent habillé?

Rage

Peu à peu elle monte...
la peur, l'effroyable angoisse
qui vous serre la gorge
à vous en étrangler

Je me noie dans la rage
sans pouvoir l'expliquer
j'étouffe et je mélange
les armes à cran d'arrêt

En déchirant le ciel le charme s'est rompu
Au diable les lutins, les sorcières et les elfes
La magie s'est éteinte puisque la lune est morte,

Seules les plaintes résistent, les clochettes sont muettes
Tous les lacs sont noirs, les oiseaux sont en berne,
Il reste un mystère: pourquoi mon coeur fait-il si mal?
Je déteste le jour et redoute les nuits

Les fées sont des mensonges.

Comme un couteau acide qui vous brûle les plaies
encore ouvertes pour qu'en coulent le sang
puisque se taisent les larmes
qui étouffent vos cris

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